Il y a certaines maladies retrouvées chez les jumeaux plus que d'autres, , dont l'anorexie mentale et l'autisme. Ces deux maladies ont été analysés dans le cas de plusieurs jumeaux monozygotes et dizygotes.
ANOREXIE MENTALE
L’anorexie mentale est un des troubles des
conduites alimentaires(TCA). Elle vient du mot grec qui signifie «perte d’appétit».
Ce cas retrouvé, pour la plupart, chez les adolescents, cause une différence
dans l’apparence physique et elle cause des limitations alimentaires sévères. Même si les vraies causes ne sont pas connues,
ce trouble mentale peut être causé par l’environnement
en général et des évènements produits dans la vie de quelqu’un qui peut avoir
changé la psychologie d’une personne. Elle est aussi héréditaire. Une des
conséquences la plus drastique et l’immense perte de poids due à perte d’appétit
et des restrictions aux activités physiques et intellectuelles intensives. L’anorexie
peut s’accompagner d’une boulimie, de vomissements et de prises de purgatifs.
Cette maladie est reliés aux gènes et c’est pourquoi on la retrouve chez les jumeaux (même dans des cas mère et filles), mais le gène responsable n’est pas encore connu, il se peut que se soit un cas polygéniques, donc causés par plusieurs gènes. Pour la plupart, ce cas est dû au chromosome 1, il peut aussi être associé aux chromosomes 3 et 4, même le chromosome 10 dans les cas d’anorexie mentale associés avec la boulimie. Lorsque un jumeaux est atteint de la maladie, souvent l’autre va suivre ses pas, et lorsque séparés, leur habitude alimentaire va se reprendre.
Chez les jumeaux monozygotes, le pourcentage que des études ont démontré à la possibilité de l’anorexie mentale est de 44% et de 12,5% chez les jumeaux dizygotes.
Cette maladie est reliés aux gènes et c’est pourquoi on la retrouve chez les jumeaux (même dans des cas mère et filles), mais le gène responsable n’est pas encore connu, il se peut que se soit un cas polygéniques, donc causés par plusieurs gènes. Pour la plupart, ce cas est dû au chromosome 1, il peut aussi être associé aux chromosomes 3 et 4, même le chromosome 10 dans les cas d’anorexie mentale associés avec la boulimie. Lorsque un jumeaux est atteint de la maladie, souvent l’autre va suivre ses pas, et lorsque séparés, leur habitude alimentaire va se reprendre.
Chez les jumeaux monozygotes, le pourcentage que des études ont démontré à la possibilité de l’anorexie mentale est de 44% et de 12,5% chez les jumeaux dizygotes.
http://imgbuddy.com/anorexia-nervosa.asp
L'AUTISME
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« L’autisme
ou plus généralement les troubles du spectre autistique (TSA) sont des troubles
de développement humains caractérisés par une interaction sociale et
communication anormales, avec des comportements restreints et
répétitifs. »1 L’autisme est peut-être associé à
l’accroissement du cerveau qu’on peut observer grâce a la nature « des réseaux
de neurones »2 et
les synapses.
Il est potentiellement causé d’une part par les génétiques et d’autre part l’environnement. Dans la recherche de « Autism Genetic Resource Exchange » ils ont trouvé que 70 % des jumeaux identiques avaient l’autisme mais que chez les jumeaux fraternels, ils avaient seulement 35% qui l’avaient. Le pourcentage que les jumeaux fraternels ont l’autisme est plus élevé que celui chez les frères et sœurs de différents âges. Selon ces résultats, on peut constater que ce n’est pas toujours les gènes qui déterminent si un enfant va développer de l’autisme. Si c’était le cas, les jumeaux identiques auraient toujours le même résultat et les jumeaux fraternels auront le même pourcentage que celui des frères et sœurs qui sont âgés différemment. Bien que les jumeaux partagent les mêmes milieux de grosses et naissances, ces milieux ne sont pas toujours complètement identiques. Par exemple, les jumeaux qui ont des différentes positions dans l’utérus ou des différents placentas peuvent affecter le flux du sang et d’oxygène. De plus, la plupart du temps les jumeaux ont un poids différent.
Par contre c’est très important de se souvenir que le milieu ne fait pas en sorte qu’un enfant va avoir de l’autisme, mais simplement augment les risques.
Il est potentiellement causé d’une part par les génétiques et d’autre part l’environnement. Dans la recherche de « Autism Genetic Resource Exchange » ils ont trouvé que 70 % des jumeaux identiques avaient l’autisme mais que chez les jumeaux fraternels, ils avaient seulement 35% qui l’avaient. Le pourcentage que les jumeaux fraternels ont l’autisme est plus élevé que celui chez les frères et sœurs de différents âges. Selon ces résultats, on peut constater que ce n’est pas toujours les gènes qui déterminent si un enfant va développer de l’autisme. Si c’était le cas, les jumeaux identiques auraient toujours le même résultat et les jumeaux fraternels auront le même pourcentage que celui des frères et sœurs qui sont âgés différemment. Bien que les jumeaux partagent les mêmes milieux de grosses et naissances, ces milieux ne sont pas toujours complètement identiques. Par exemple, les jumeaux qui ont des différentes positions dans l’utérus ou des différents placentas peuvent affecter le flux du sang et d’oxygène. De plus, la plupart du temps les jumeaux ont un poids différent.
Par contre c’est très important de se souvenir que le milieu ne fait pas en sorte qu’un enfant va avoir de l’autisme, mais simplement augment les risques.